samedi 13 septembre 2008

Les évadés.



Ce n'est pas souvent qu'un film se trouve une place sur mon Blog...(Le dernier en date étant Instinct)
Mais là vraiment c'est incontournable!

Ai découvert un chef d'oeuvre du septième art, dont je n'avais entendu parler...
N'avais aucune envie de me coller devant la télévision jeudi soir , aurais préféré un bon vieux livre au calme, mais sous l'insistance de mon mari, j'ai cédé les 10 premières minutes du film et je n'ai pas décroché de la suite!!!!

Un film magnifique, touchant, sincère avec un peu de la magie que transportent avec eux les hommes justes, purs et droits...
Le portrait d'un homme et son histoire à travers le regard de son ami...
Rien à voir avec un film genre Alcatraz sur une évasion spéctaculaire.... pas de violence, enfin pas d'images racoleuses ou trash.... L'histoire d'un homme capables d'offrir "la liberté" à une prison tout entière, sans déplacer quiquonque!
Des images magnifique malgrès le cadre pénitencier qui n'a pourtant rien de festif...
Une voix off avec des mots simple, justes allant à l'essenciel...
Ni trop , ni trop peu...
Juste un très grand film que je recommande vivement!

Le plus drôle c'est que à la fin du film il m'a un peu fait penser à la ligne verte.. Même si les scénarios diffèrent, le milieu carcéral , la justice et ses injustices, la générosité et la pureté d'un homme (John Café d'un coté, Andy Dufresne de l'autre) et en recherchant la photo du film, ai découvert qu'il s'agissait du même réalisateur: Frank Darabont .
N'ai pas pleuré comme une madeleine comme dans La Ligne Verte mais ai été touché au coeur...
Il est des films qui laissent encore croire à la beauté de l'homme dans le sens le plus noble et celui -ci en fait parti...
Ai vraiment adoré...
Ne suis visiblement pas la seule puisque Outre-Atlantique en 1995, "Les évadés" a obtenu plusieurs oscars : meilleur interprétation pour Morgan Freeman, meilleure photographie, meilleur montage, meilleure musique; meilleur son et meilleur scénario. .

L'histoire pour ceux qui l'ont raté et qui hésitent encore à le louer /ou le téléch...(même si c'est pas très bien !)/

1947, Andy Dusfrenne, banquier respectable, est condamné à la prison à vie pour le meurtre de sa femme et de son amant. Il a beau clamer son innocence, il est envoyé à la prison de Shawshank, un pénitencier connu pour être l'un des plus durs. Après un mutisme et un refermement sur soi pendant plusieurs semaines, il se lie d'amitié avec Red, la personne qui obtient tout ce qu'on lui demande. Alors qu'il se met à travailler pour le directeur de la prison, grâce à ses talents professionels, Andy demande à Red de lui trouver deux petits objets très spéciaux...

Vous l'aurez compris: C'est à voir et à revoir absolument!!!

1 commentaire:

Anonyme a dit…

le livre est tout aussi bon...