jeudi 18 décembre 2008

Gardesil et Cervarix... On ne parle plus que d'eux!

A la radio , à la télé les laboratoires pharmaceutiques ont investi dans un grand nombre de campagnes de pub!
A les écouter, je trouvais ça chouette, le jour où j'ai reçu l'article d'Univers-nature.com j'ai déchanté...
Le voici:
/Il est un peu long mais tout me semblait important!/ Bonne lecture!

Gardasil et Cervarix sont les nouveaux vaccins vedettes de l’industrie pharmaceutique. Le matraquage publicitaire, les communiqués des agences sanitaires et les déclarations rassurantes des médecins ont créé un besoin en jouant sur la peur. La peur du cancer. Mais cette vaccination, officiellement recommandée, est-elle pour autant recommandable ? Est-elle efficace ? Ces vaccins sont-ils réellement sûrs ? A-t-on assez de recul pour pouvoir en juger ? Comment se transmet la maladie contre laquelle on vaccine ? Est-elle grave ? Est-elle fréquente ? Les traitements curatifs sont-ils au point ?

Un label « anti-cancer » abusif
  • Tout le monde parle de vaccination « contre le cancer du col de l’utérus » or il s’agit en fait de vaccination contre le papillomavirus humain (HPV), accusé d’être à l’origine du cancer, ce qui reste à prouver.
  • En effet, le papillomavirus humain (HPV), virus dont il existe plus d’une centaine de souches, et qui se transmet préférentiellement par voie sexuelle, n’est jamais, à lui seul, une cause suffisante pour générer le cancer du col de l’utérus. Et ce, même pour la douzaine de souches dites « à haut risque » dont font partie les souches 16 et 18 de HPV incluses dans les deux vaccins.
  • En effet, dans 90 % des infections au HPV, le virus sera éliminé naturellement dans un délai de 8 à 13 mois sans avoir généré le moindre désagrément.
  • Dans les 10 % restants, le virus pourra persister plus longuement et être associé à l’apparition de lésions pré-cancéreuses appelées dysplasies cervicales dont il existe différents grades.
  • Toutefois, seuls 3 % de ces dysplasies (donc 0,3 % maximum du total des infections) dégénéreront en cancer. Ces lésions débutantes peuvent disparaître naturellement et elles peuvent être traitées très efficacement. Le stade de cancer véritable peut donc être évité dans la majorité des cas.

Les deux vaccins sont des vaccins transgéniques : tantôt fabriqués à partir de cellules de levure de bière (Gardasil) tantôt à partir de cellules et de virus d’insecte (Cervarix), il faut savoir que la purification ne peut jamais être parfaite et que donc des résidus de la manipulation génétique (enzymes, ADN hétérogène, ..) peuvent toujours subsister dans la formule finale avec le risque que cela interfère avec notre génome. Le Gardasil contient en outre 225µg d’aluminium par dose ainsi que du polysorbate 80 et du borate de sodium, des substances connues pour leur neurotoxicité, leur cancérogénicité et leurs nombreux autres effets secondaires, notamment sur la circulation et les organes des sens. Le vaccin Cervarix, lui, renferme 500 µg d’aluminium par dose ainsi qu’une fraction bricolée d’endotoxine (lipide A purifié), le tout formant un adjuvant détonnant appelé « AS04 », adjuvant pour lequel on manque énormément de recul quant à son potentiel d’induire des maladies auto-immunes.




La prévention est plus efficace
L’intérêt des traitements locaux pour les lésions détectées à temps rappelle l’importance d’un dépistage régulier par frottis pour les jeunes femmes dès qu’elles deviennent sexuellement actives.
C’est d’ailleurs cette absence de dépistage organisé qui explique pourquoi 80 % des cas mondiaux de cancer du col surviennent dans les pays du Sud.
Même si, en France, ce taux de dépistage plafonne à moins de 60 %, celui-ci a permis une réduction très importante de la mortalité par ce type de cancer qui ne représente que 2 % de la mortalité totale féminine par cancer.
De plus sa fréquence n’a cessé de diminuer ces vingt dernières années sans qu’aucun vaccin ne soit entré en jeu.

Autre piste de prévention, les femmes doivent prendre en compte leurs propres facteurs de risque (tabagisme, alimentation déséquilibrée, stress, exposition à différents polluants, prise de la pilule contraceptive, immunodépression, relations multiples non protégées, etc.) pour essayer, dans la mesure du possible, de corriger leur terrain et de renforcer leur immunité.

Des bénéfices incertains
Le fabricant du Cervarix (dirigé contre les HPV 16 et 18) prétend pouvoir lutter contre 80 % des cas de cancers du col grâce à une protection croisée avec d’autres souches non contenues dans son vaccin.
Le fabricant du Gardasil (dirigé contre les HPV 6,11, 16 et 18) prétend que ce vaccin éviterait 70 % des cas et qu’il peut, en outre, aussi protéger des verrues génitales (qui sont une pathologie bénigne).
Les deux laboratoires préconisent la vaccination précoce avant les premiers rapports sexuels pour une plus grande efficacité.
Mais ils oublient de donner des informations capitales : la fréquence des sérotypes de HPV varie fortement d’une région du monde à l’autre.
Selon une étude récente parue dans Jama (revue médicale de référence), les HPV 16 et 18 ne seraient impliqués que dans 2,3 % de toutes les contaminations par HPV dans un pays industrialisé comme les Etats-Unis !
Qui peut dire alors que la vaccination n’induira pas, par compensation, une fréquence accrue d’autres souches, non contenues dans ces vaccins, et qui deviendraient alors plus résistantes ?

Et ensuite ?

Rappelons que le cancer du col atteint son pic de fréquence chez la femme d’âge mûr.
Comment prétendre, sur la base d’essais cliniques d’une durée de cinq ans, que de tels vaccins éviteront le moindre cas de cancer, 20 ans plus tard ?
En admettant que le vaccin soit efficace, personne ne peut dire (pas même les laboratoires) quelle sera la durée réelle de protection par cette vaccination.
Or, quand on sait que 3 femmes sur 4 rencontrent de tels virus au cours de leur vie, comment savoir si les jeunes femmes vaccinées ne finiront pas par être infectées elles aussi ?
Faudra-t-il entrer dans le cercle vicieux des rappels ?

Des conséquences graves:
Présentés comme sûrs par les fabricants et les autorités, ces vaccins sont pourtant depuis plusieurs mois dans la tourmente.
• Aux USA où le vaccin Cervarix n’a pas reçu le feu vert de la FDA (Food & Drug Administration), le Gardasil est déjà associé à 25 décès et plus de 8000 effets graves.
Or, quand on sait que les effets secondaires connus de vaccins rapportés représentent seulement 1% de la réalité de l’aveu même du CDC et de la FDA, il y a vraiment de quoi s’alarmer. Il faut aussi savoir que cette vaccination n’a pas été évaluée, lors des essais cliniques, sur des jeunes femmes de moins de 16 ans alors qu’elle est pourtant préconisée dès 11 ou 12 ans selon les pays.

Voici quelques uns des effets graves possibles: (ils ne surviennent pas toujours juste après l’injection ni forcément après la première dose) : décès dont certains par thrombose, arrêts cardiaques, paralysies pouvant être irréversibles, bronchospasme, syncope, faiblesse généralisée, troubles cutanés, arthrite, migraines invalidantes, inflammation du pelvis avec violentes douleurs abdominales, modifications du cycle menstruel avec disparition ou amoindrissement du flux périodique, troubles de la vue, épilepsie parfois irréversible, fausses couches sans compter le risque de maladie auto-immune pouvant survenir jusqu’à quatre ans après le vaccin (et même peut-être plus car le délai d’apparition de maladie auto-immune est parfois plus long).

Des témoignages dramatiques :
Confrontées le plus souvent au déni du corps médical qui les a vaccinées, les jeunes femmes n’ont plus qu’internet ou quelques rares médias à qui elles peuvent se confier.
Les témoignages sur les « blogs » ou les « forums » sur le sujet sont très nombreux, dans toutes les langues.
Il suffit de taper les mots clés « gardasil », « cervarix », « effets indésirables vaccination », etc. Ainsi, les proches de la jeune Jeanie Tetlock, une américaine de 14 ans, ont créé un blog suite à la maladie neurodégénérative qui a débuté chez elle un mois après la vaccination. Jessica Vega, une autre américaine de 14 ans, vaccinée à l’école il y a un an, a développé une paralysie de type Guillain-Barré une semaine après la deuxième dose et n’a vu son état s’améliorer qu’au bout d’un mois de rééducation fonctionnelle .
En Europe aussi: L’EMEA, l’agence européenne du médicament, a publié en janvier 2008 un communiqué pour annoncer le décès de deux jeunes femmes de 17 et 19 ans en Allemagne et en Autriche survenu peu de temps après la seconde dose pour l’une et 23 jours après la première pour l’autre, l’agence précisant toutefois qu’aucun lien n’avait pu être établi avec le vaccin.

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